Evènements

Mars 2024
Lun
Mar
Mer
Jeu
Ven
Sam
Dim
26
27
28
29
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31

 

 

Voir tous les évènements

L’origine négro-africaine du savoir grec, Vol. 1

Jean-Philippe Omotunde
Édition : Menaibuc
ISBN : 2-911372-17-4
Format du livre : 15 cm*21 cm
Poid : 150g
EAN : 9782911372179
Disponible
11,16€  

Quantité


Attention ! Voilà sans doute un ouvrage qui risque de modifier considérablement votre de l'histoire de l'Afrique. >>> En effet, l'approche européocentriste de l'histoire de l'humanité appelée communément le "Modèle Aryen" par certains chercheurs objectifs, fait de la Grèce l'épicentre de la pensée scientifique et philosophique dans l'antiquité. >>> Cependant, le témoignage des anciens dévoile qu'à l'origine, les Grecs ne disposaient d'aucune annale relative à l'observation de faits historiques, scientifiques ou astrologiques. >>> Pourtant, la collecte de données diverses fut la condition essentielle de l'éclosion des grandes civilisations égyptienne ou mésopotamienne. que s'est-il donc passé pour la Grèce et comment expliquer le fameux "Miracle Grec" ? >>> L’examen des sources grecques ne permet pas de valider la thèse "européocentriste" défendue par le "Modèle Aryen". >>> Pire encore, en désignant le monde négro-africain comme la véritable source de leur savoir et de leur initiation sur les voies de la civilisation, les plus grand savants grecs (Thalès, Pythagore, Hérodoté, Aristote, Platon, Diodore de Sicile.) apparaissent comme les premiers vrais "afrocentristes" de l’histoire de l’humanité >>> Comment expliquer la présence de 25 % de mots africains dans le vocabulaire grec ? Comment expliquer les similitudes parfaites entre les textes grecs et les papyrus scientifiques de l'Egypte antique ? >>> 

PRÉSENTATION DE L'AUTEUR: L'auteur Jean-Philippe OMOTUNDE vous livre, dans cet ouvrage le témoignage explicite des Grecs sur la véritable origine de leur pensée scientifique. Spécialiste en communication, passionné d'histoire et originaire de la Guadeloupe, l'auteur qui a toujours trouvé intrigant l'éloge faite à la Grèce, vous invite à percer ses secrets bien cachés.



L'auteur, guadeloupéen, s'est toujours préoccupé de ses racines africaines et s'insurge contre l'image du monde noir donnée par l'école et la famille. Adepte enthousiaste de Cheikh Anta Diop, il puise dans les idées de ce dernier son titre, raccourci saisissant du syllogisme : les Grecs ont trouvé en Egypte la source de leur civilisation et de leur culture, or l’Egypte était négro-africaine, donc l’origine du savoir grec est négro-africaine. 

En lisant cet ouvrage, nous ne pouvons douter de la vérité de cette assertion. En effet, les Grecs eux-mêmes, tels qu'Hérodote et Aristote, pour ne citer que les plus célèbres, ont reconnu les Égyptiens comme leurs maîtres. Et ceci à double titre, d'une part parce que les Égyptiens ont, bien avant les Grecs, découvert, entre autres sciences, les mathématiques, la géométrie, l’astronomie, la cartographie et, bien sûr, l’architecture ; d’autre part parce que les plus grands des savants et philosophes grecs, tels Pythagore, Platon, Thalès, ont fait en Égypte des séjours plus ou moins longs : Pythagore passa 22 ans en Egypte, Platon treize ! Les témoignages de l’époque prouvent qu’il s’agit, non pas de simples « stages » comme on a prétendu parfois le faire croire, mais d’une véritable formation, à caractère initiatique : « Pythagore a appris des Égyptiens sa doctrine sur la parole sacrée, la géométrie, les nombres … », a écrit Plutarque, cité par Omotunde. Ainsi serait-il peut-être juste de débaptiser le fameux « théorème de Pythagore » !
L’auteur de cette étude est abondamment documenté. Ses sources sont nombreuses et toutes connues des spécialistes de l’Antiquité. Il invoque également le témoignage de Champollion en personne. Il met par ailleurs en évidence la conspiration du silence par laquelle, pendant des siècles, la véritable origine de la culture occidentale a été occultée. Certes, nous ne sommes pas étonnés de le voir citer Gobineau au nombre de ces conspirateurs, mais plus étonnants sont les articles de revues sérieuses et contemporaines, telles que Geo ou Sciences et Vie qui nient l’évidence ou se contredisent sans vergogne d’un article à un autre.

Une découverte pour tous ceux qui cherchent encore à affirmer l’identité négro-africaine et une raison de dévoiler une fois de plus l’hypocrisie occidentale. Le souhait de l’auteur est que la vérité soit rétablie dès les bancs de l’école.

Françoise TSOUNGUI